Bad day
Cette remarque est le fruit d'une longue réflexion : au ZooBoulot, il y a quelqu'un (et p'tet pas un seul) qui déteste Madame Pas Contente.
Mais ça, elle peut le comprendre. Elle a l'habitude, et pour parler vulgairement, ça lui en bouge un (nibard) sans toucher l'autre.
Par contre, ce qu'elle ne peut ni comprendre, ni tolérer, c'est que ce ressentiment se manifeste par le biais d'un vol.
Encore ! Direz-vous. Et bien oui, encore. Et ce coup ci, ce n'est pas Dédé qui a disparu, mais le joli vide poches (utilisé en tant que cendrier) que BigBoss avait ramené de Madrid.
Petit 1 : ce n'est pas la femme de ménage. Madame Pas Contente lui a parlé hier, et elle était aussi désolée que surprise du vol. Et puis c'est une très gentille dame qui ne ferait jamais un truc pareil.
Petit 2 : ce n'est pas un "emprunt". Madame Pas Contente a hurlé assez fort son indignation. L'éventuel emprunteur n'aurait pas manqué de replacer l'objet du délit fissa-fissa.
Petit 3 : il y a une caméra qui donne pile-poil sur la porte d'entrée du bureau, et l'on ne voit pas sortir le cendrier... Donc quelqu'un l'a glissé dans son sac, sa poche de veston, son slip (c'est certainement un vicelard ce voleur !)...
La conclusion s'impose, c'est un acte gratuit, destiné a emm*rder Madame Pas Contente. ET BÉ C'EST RÉUSSI !
Maintenant, on arrête de jouer, on restitue l'objet, ou il y aura du sang sur les murs. Et pas forcement le sang d'un coupable, mais celui du premier qui bougera.
En plus BigBoss est très offensé par le larçin. A la place du voleur, Madame Pas Contente aurait le trouillomètre à zéro...